Les débuts d’internet, dans les années 90, avec de simples pages web et hyperliens entre elles, c’est le web 1.0. Actuellement, nous sommes en plein dans le web social. C’est le web 2.0. Les gens sont reliés par la toile d’un bout à l’autre du monde, se sont eux les acteurs, les « remplisseurs » de la toile.
Le web 3.0
On y arrive ! C’est la connectivité mobile, on pense tout de suite au téléphone mais tous les ans on découvre de nouveaux objets connectés. Les montres intelligentes et les bracelets connectés rythment le quotidien des plus gourmands de technologie. Et demain ? En 2020, le nombre d’objet connectés sera de l’ordre de 2 milliards en France. Quels seront ces objets ? A la même année, plus de 1% de ces nouveaux compagnons seront des voitures. On l’observe déjà aujourd’hui avec les nouvelles voitures connectées, la Tesla qui se déplace de manière autonome ou encore le géant Google avec sa Google Car.
Dans un autre domaine, alors que la vente de médicaments en ligne est en chute libre, aujourd’hui, 13% des Français sont équipés d’un objet de e-santé.
Ce nouveau Web est appelé le web sémantique. C’est un ensemble d’informations qui deviendront un résumé. Il doit permettre aux internautes, entreprises, et autres groupes de collaborateurs d’avoir accès à des données claires, regroupées, provenant de plusieurs sources.
Bien sûr le terme Web 3.0 est très discuté. Il est souvent considéré comme un web 2.1 plutôt qu’un web 3.0 car décrit comme une amélioration plus qu’une révolution.
Et pour les intérimaires ?
On peut imaginer dans le futur, un bracelet connecté Abil Ressources qui équipe tous les intérimaires. Ce bracelet pourrait, par exemple, donner l’heure, mais aussi permettre de saisir les bordereaux d’heures automatiquement, délivrer la fiches de paie et l’attestation Pôle Emploi en temps réel. Le client, lui aussi équipé, pourrait plus facilement trouver le candidat de ses rêves… Tout ça grâce à sa montre connectée Abil Ressources. Ça serait pas beau ça ?